Ilovefma v.6.0 "Novus Mundus"

« Homonculus », terme désignant des créatures issues du péché des hommes, ou plutôt des Alchimistes. Ils sont au nombre de sept et possèdent d'étranges pouvoirs ainsi que l'immortalité.

Après de nombreuses confrontations avec les humains, les homonculus réussirent à faire de leur idéal, une réalité. Tout fut alors inversé : les homonculus devinrent alors les « héros » de l'humanité, tandis que les alchimistes, s'opposant au soi-disant monde des nouveaux dieux, se transformèrent en « ennemis ».
La seule imperfection dans le nouveau monde fut alors ces êtres indésirables, les alchimistes. L'alchimie avait été l'origine du monde perfectible des sept êtres issus des péchés humains et ce, grâce à la pierre philosophale; elle est maintenant la source du mal, celle qui pourrait retransformer le monde : les humains recommenceraient alors à pécher et à souiller la terre avec de nouvelles créatures maléfiques, à tenter de devenir Dieu et à braver les interdits.
Ainsi, les humains se rangèrent du côté des homonculus pour ne pas commettre à nouveau des péchés, comme autrefois, et ainsi, vivre en paix.
De l'autre côté, les alchimistes ne pouvaient tolérer la présence de pseudo « dieux » qui n'en étaient même pas... face à eux se dressent maintenant les chimères, êtres détestant pour la plupart les alchimistes, créateurs de leurs malheurs.
Les Ishbals ? Ils ont tous été exterminés durant les conflits, excepté un, qui est alchimiste et qui a pu survivre à tous les affrontements. Il est alors le seul descendant de la nation Ishbal, et ainsi, le seul être aux yeux rouges.

Alors qu’une lutte sans fin pour l’obtention de la pierre philosophale s’était déclarée en Amestris et Drachma, les alchimistes se sont unis, malgré leurs différents, pour contrer les manigances de leurs ennemis jurés, les homonculus.
Il ne fallut que quelques semaines pour que les alchimistes repoussent les homonculus hors des frontières d'Amestris. L’état d’urgence fut alors décrété du côté des homonculus : leur objectif s’éloignait de jour en jour et pas question de laisser de minables êtres humains les empêcher de réaliser leurs rêves. Ils se réunirent alors à Drachma, là où rien ne peut les atteindre, afin de mettre en place leur stratégie : ils se devaient de prendre possession des zones les plus sensibles d’Amestris, c’est-à-dire, celles où le pouvoir Amestrien est faible et donc, où l’armée n’est pas présente.

En quelques semaines ils arrivèrent à Ishbal : ceux-ci n’acceptèrent pas de coopérer avec ceux qu’ils appelaient les serviteurs du Diable, qui prônaient des inepties contraires à leur religion. De ce fait, tous les Ishbals furent sommairement assassinés… tous excepté un. Il s’agissait du seul Ishbal capable d’utiliser l’alchimie. Pensant que l’homonculus de la paresse pourrait en finir avec lui, les autres continuèrent leur chemin afin de continuer leur conquête.
Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que cet Ishbal avait plus d’un tour dans son sac : il savait, oui il savait quel était le point faible d’un homonculus…

Ainsi, les homonculus comptèrent une perte dans leur rang. Quelque chose inacceptable pour des êtres immortels ... La rage de vaincre des homonculus se fit alors ressentir dans leur avancée en Amestris, et surtout, la rapide avancée du tracé du cercle de transmutation gigantesque qui entoura Drachma, Amestris et les pays alentours, en ayant pour centre, la capitale d’Amestris.

Il leur fallut alors environ un an pour finir ce projet qui allait mettre fin à l’utopie des alchimistes et débuter celle des homonculus.

Le commencent de la fin débuta alors, au centre de tout : Central. Se retrouvèrent alors nombre d’alchimistes ainsi que les 6 homonculus restant… C’est à partir de là que le compte à rebours débuta. La majorité des Alchimistes tomba dans un piège, ce qui élimina une grande partie de la menace. Cependant, les meilleurs étaient encore là, dont le survivant Ishbal. Il fallait qu’ils arrêtent la machinerie, et maintenant. Mais alors que les Alchimistes se précipitèrent au Centre de Tout pour stopper la réalisation de l’idéal homonculus, tout devint… différent.